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L'Arrière boutique d'Innée - Page 12

  • Les années de déréliction de Miron





    Quand j'ai un besoin urgent d'entendre la poésie et la voix Gaston Miron je prends cet album
    « La marche à l’amour ».
    En l’écoutant je transpose - ou transe pause - ma réalité
    Tellement qu'à la fin au bout de sa voix et de ses mots
    Je pleure debout dans le silence de mon humanité.

  • Une petite vite.

    Il s’écrit de lui dire jamais : « Je t’aime »

    Innée

  • Et passe le temps

    Entre une bière et une vodka
    Rien de mieux que la franche camaraderie,

    Innée aux petites heures du matin ...

  • Petite Nancy cogîte

    Je suis entrain de dormir

    Petite Nancy me réveille

    Debout près de mon lit

    Je regarde l'heure 4 h 40

    Elle a une bouille rayonnante et moi je suis à chier

    Petit Nancy :

    Je veux faire des amas de couleurs intérieures avec certain de tes pseudo textes poétisés

    Grande Nancy :

    Tu me reveilles juste pour me dire ça ?

    5 jours que je ne sors pas en ville pour récupérer
    Et toi depuis 5 jours toutes les nuits te me sors du sommeil pour me parler de tes idées

    Je t'ai donné le droit de te coucher à l'heure que tu veux pas de m'épuiser

    C'est là que j'ai de la misère à t'assumer tu me consumes en entier avec tes créations

    Petite Nancy tu dois trouver ta liberté dans les limites que m'impose ma vie

    Je dois travailler pour t'offrir ton matériel et tu n'es pas seule à avoir des besoins

    Innée désire un portable neuf

    Sarah Burnout a trouvé son coach metteur à scène

    Nancy amasse mes sous pour son voyage en France

    NéoPoupoune à besoin de vêtements et de faux papillons

    Les soifs de liberté de la Joyeuse Galérienne demande également de l'argent

    Et moi la Grande Nancy je cherche un toit pour que nous fassions qu'une

    Alors va te coucher
    Ton idée est, quand même, géniale
    Mais va te coucher, s.v.p.
    Elle a disparu

    Je ferme la grosse Bertha et je retourne câliner Morphée



    Nancy Bourdages
    De plus en plus Phare et de moins en moins caché à l'arrière boutique



    Extrait de la 10 ième partie : L'unification (La gardienne du Phare)

  • Quand l’imaginaire me libère

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    J’ai collé sur ton front un écriteaux :
    « Ne pas touchez ! »
    Je t’ai bien rangé dans le placard
    Refermé la porte
    Barré à double tours

    Le pied sur la pédale à couvercle ouvert
    Dans ma main
    Je fixe la clef
    J’ai perdu pied
    Et refermé ma main
    Demain…
    Je la jetterai , demain.
    Il paraît que le cerveau humain n’enregistre pas les « ne pas » ?
    La belle affaire
    Je suis dans la merde.
    22 h 30
    Je vais aller me coucher

    4 h 32 du matin
    Insomnie
    En ouvrant les yeux
    Je pense à toi
    J’ouvre la porte du placard
    Tu as toujours cet osti de sourire
    « Tabarnak pu capabe ! »
    J’arrache l’écriteaux
    Je tire sur ta manche de chemise
    « Sors de là ! »
    « Allez va-t-en !»

    Enfin mon imaginaire est capable de te faire partir
    Je te vois de dos
    Youppi !

    « Aïe ! Attends »
    Il se retourne et toujours ce maudit sourire.
    Donnes-moi ta bière
    « Come on » pas à 5 h 00 de matin
    Tu es encore en état de choc
    Tu as, à peine, pleuré ton drame.
    Arrête
    Là debout dans ton axe
    Attends dans le silence des étoiles
    Laisse les torrents de peines opérer ta libération
    Tu es plein de vie et d'histoire à inventer
    Tu as les reins solides
    Mais pourquoi leurs faire encaisser ta fuite.

    Tu es un scanner d’âme
    Je le sais
    Je connais le calvaire de cet insoutenable don
    Une fois que ta tempête sera passé
    Prends soin de la belle
    C’est une elle précieuse

    Pouf ! Disparu !
    Merci la vie
    J'ai perdu la clef
    Je retourne me coucher



    Innée

    5 h 27
    14 août au matin

  • L'accès au Phare

    Depuis hier, il faut un code d'accès pour se diriger vers le phare.
    Faites votre demande à bongrossens@hotmail.com


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  • Mes vers libres s'enfoncent

    Quand je dépose ma carapace pour écrire
    Au milieu de cette ville bruyante et grouillante de vie
    Mon corps devient un monastère urbain

    Mettre au monde l’œuvre avenir
    Illettrée des temps modernes
    Je bûche à l’ombre de mon ignorance


    Faire diversion
    Sous de faux papillons, je me cache

    La bouche grande ouverte de silence, je cris

    À pleins poumons, je crache l’amour

    Mes yeux ne perçoivent que le beau

    Je reconnais que la lumière des regards

    Mes vers libres s'enfoncent

    Le noir existe

    Innée

    Dimanche soir

  • C'est beau un homme.

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    Maudite belle brochette !


    Innée

    S. Connery
    G. Depardieu
    J. Depp
    M. Davis
    K. Parent
    T. Tremblay
    Z. Richard
    C.Couture

  • Ariettes oubliées

    J'ai traîné dans ma bourse durant plusieurs années un recueil de poésie bien connu de Verlaine : Romances sans paroles. Tranquillement au fil des ans il s'est retrouvé sans couverture avec toutes sortes de tâches soit de maquillage ou d'encre de crayon ayant coulé dans ma sac etc… Je revenais et je dis bien je revenais sans cesse sur le poème :

    Il pleure dans mon coeur

    Il pleut doucement sur la ville
    (Arthur Rimbaud)

    Il pleure dans mon cœur
    Comme il pleut sur la ville;
    Quelle est cette langueur
    Qui pénètre mon cœur?

    O bruit doux de la pluie
    Par terre et sur les toits!
    Pour un cœur qui s'ennuie
    O le chant de la pluie!

    Il pleure sans raison
    Dans ce cœur qui s’écœure
    Quoi! nulle trahison?...
    Ce deuil est sans raison.

    C'est bien la pire peine
    De ne savoir pourquoi
    Sans amour et sans haine
    Mon cœur a tant de peine!


    Et la finale me renverse encore

    L'âme du poète respire encore en ses pages
    Je vais l’apprendre à nouveau par cœur.
    Je vous l'offre

    Innée

  • En revenant du Boud

    J'avais juste la fin de cette toune dans ma tête en revenant à la maison au petit matin.

    "C'est rentré comme un clou,
    Un couteau dans' patate.
    La suture a t'nu l' coup:
    Well, let's drink to that!

    Le jour s'est l'vé sur Rouyn
    'Ec des gros rayons d'or.
    J'ai jasé 'ec mon instinct...
    Et j'ai couché dans mon char."

    Innée solide en ses assises.

    Chanson de Richard Desjardins

  • Le désir

    J'ai adoré le billet de Dany Laferrière ce matin.

    Nancy

  • Possibles dialogues 2

    En réponse à M. Steed Possibles dialogues 1


    Yes !
    J’ai l’œil pétillant
    Le sourire en coin
    Je salive
    Et je n’ai même pas encore taper un seul mot au clavier

    Innée



    Il y a longtemps que j’observais vos volets
    OH! Merveille là ils sont ouverts
    Votre ouverture m’attise
    Cher Boucher-Poète
    Comme toujours, je suis en manque de viande
    Je suis vorace
    Qu’avez-vous à m’offrir pour que je vous marine un peu ?
    C’est dans le jeu que votre beauté prend tout son sens
    Cher Muse ludique
    Je vous désire tout entier
    Je veux chacune de vos virgules point à la ligne
    J’exige rien de moins qu’une partie de mots en l’air
    Chez-vous où chez-nous ??
    Hum !
    Oui promenons-nous entre nos deux lieux.
    J’adore cette idée.
    Qu’est-ce que je vais faire avec vous ?
    Moi je sais se qui vous allume
    Le quotidien et votre banquière
    Taisez-vous !
    Je le sais
    Vous l’avez si bien d’écrite dans les antichambres
    Que j’en suis jalouse.
    Oui ! Jalouse !
    À côté d’elle, j’ai l’air d’une enfant cœur avec mes petits papillons
    Ah ! Vous êtes un fieffé vicieux
    Tel qu’un voyeur vous vous cachez pour jouir de mes mots plongeants
    J’ai une confession à vous faire
    Je suis immorale
    J’ai oublié vos platitudes sur un banc d’autobus entre St-Jérôme et Montréal
    Pas étonnant vos textes m’endorment
    Des somnifères sans aucun effet secondaire…c’est du propre
    C’est partie !
    Salissons un peu cette arrière boutique !

    Possibles dialogues 3 cliquez ici