Quand je dépose ma carapace pour écrire
Au milieu de cette ville bruyante et grouillante de vie
Mon corps devient un monastère urbain
Mettre au monde l’œuvre avenir
Illettrée des temps modernes
Je bûche à l’ombre de mon ignorance
Faire diversion
Sous de faux papillons, je me cache
La bouche grande ouverte de silence, je cris
À pleins poumons, je crache l’amour
Mes yeux ne perçoivent que le beau
Je reconnais que la lumière des regards
Mes vers libres s'enfoncent
Le noir existe
Innée
Dimanche soir
Commentaires
Et poutant,...
C'est parfois dans les coins sombres
Que s'écrivent d'autres vérités,
Que s'allument des probabilités,
La lumière ne fait que détourner l'attention.
Je me sens fatigué...
Harry Steed
Dans les coins sombres la lumière est encore présente cher ami.
Reposez-vous car "Possible Dialogue 4" arrive bientôt.
:O)
Innée.