Les nuits d'amour et les larmes finissent toujours à la même place
dans un tas de Kleenex et nous recommençons le même manège.
Innée
Lustrée en couleur ultra lucide
Blog de nuit
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Une petite vite
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Les perrasites ne sont plus parmi nous
Ce soir avant de partir en vacance, je me dois de souligner une très grande perte qu’à subit dernièrement la blogOphère. Avant ce jour, il m’était impossible d’en parler sans sentir monter en moi une vague immense de tristesse. Le blog de Perrasite s’est éteint le 22 juin 2008. Je sais, je sais, je sais, c’est dur à croire. Oui, oui, je sais... Prenez vos boites de papiers mouchoirs et pleurez le mort de cet irremplaçable personnage.
Ce soir je rends hommage à un puissant esprit de synthèse.
Je communique exclusivement par Internet avec une personne. Nous sommes des fraternets ! Nous avons une relation exclusivement fraternette !
Cotontigé par Perrasite Premier @ 00:28 15 mai 2006
Ce soir je rends hommage à son inépuisable verve.
Les réserves
D’après la tonalité du cillement des cigales, au son, on devine la profondeur du champ de trèfle où elles profitent du soleil de juillet. Je laisse tomber mon vélo sur le côté du chemin. L’odeur de la chlorophylle est apaisante. J’aime passer mes journées ici, seul. Étendu sur le dos, je regarde défiler les nuages. Leurs formes évoquent tantôt un train, tantôt un avion, une fusée à la fin. Les anges vivent au Ciel. C’est ce qu’on répète. Le temps file. Il est déjà temps de rentrer. Le nœud se durcit déjà. Une nouvelle bulle opaque se formera, en attendant de revenir au cœur des vagues, de traverser cette mer d’été. Le temps des moissons reviendra et il faudra entrer sous terre à nouveau. Ces instants gravés serviront de réserves pour l’hiver à venir.
Perrasite 27 mai 2007
Ce soir je rends hommage à l’infini finesse de ses commentaires
Si vous venez mourir sur mes plages, me laisserez-vous le temps d'enfiler mon Speedo rouge et d'ensuite, vous faire le bouche-à-bouche ?
Perrasite ressuscité
4 mai 2006
Adieu et je cherche désespérément Charlie.
Innée la façade de l'arrière boutique :OP -
J'adore son blogue
Avant même que la blogOsphère ne prenne de l'expansion, il carburait déjà sur le net
Lui il ne sait jamais dit après quelque années : J'ai fait le tour ou je n'ai plus rien à dire !
Du texte et encore des textes et des textes et des traces de vie...
Innée -
Bonne nuit
Da Da je suis de Charlélie tiré de la trame sonore : Les modernes 1988 (The moderns)
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Les années de déréliction de Miron
Quand j'ai un besoin urgent d'entendre la poésie et la voix Gaston Miron je prends cet album
« La marche à l’amour ».
En l’écoutant je transpose - ou transe pause - ma réalité
Tellement qu'à la fin au bout de sa voix et de ses mots
Je pleure debout dans le silence de mon humanité. -
"Qu'il est difficile d'aimer" chantait Vigneault
Je contrôle encore la trajectoire de ma route
Mais aucunement le paysage
Il est là
Tout autour
Droit devant
C’est mon seul espoir
Aller droit devant
Nancy
2001 extrait de : "Dépassionner pour croître"
P.S :
Un vieux bout de texte qui me rappelle qu'en route rien ne change vraiment en dehors du paysage.
Mon point fixe demeure le même.
L'amour à l'horizon.
En l’observant de profil
Je perçois droit devant ses yeux.
J'aime le levée du soleil... -
Un leurre
Innée en mode été -
Elle a tranché
Après une soirée au théâtre et un verre chez Baptiste
Loulou a tranché : "Non, non, non, oublie ça ! Ça te prends un urbain!
Ah! Les amis(es) que serions nous sans eux et leurs judicieux conseils.
Innée heureuse d'avoir fait son devoir de citoyenne -
Redressement
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Tête de cochon
Promesse dû!
Promesse tenue!
Le déménagement du phare est fait
Il est un peu croche
Je finirai de passer la vadrouille demain.
Innée -
La moutarde me monte au nez
Purée de purée
Je commence à perdre mon calme avec Blogger, si le mal persiste je vais déménager le Phare à bout de bras même si cela devrait me prendre trois jours et trois nuits . Je vous le jure...
Ça fait du bien juste l'écrire
Innée l'impatiente
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Mouvement triste
Resserrement de la aorte
La vie en mal de respir
L'amour en chambre froide
Cernée de pleures
La trahison m'écoeure
Innée tristounette