Voici des perles... extraites de rapports de police publiées dans une revue annuelle de policiers...
- Il lui bottait le derrière à tour de bras
- Ayant perdu les deux bras, le conducteur
faisait de grands signes pour attirer
attention des autres automobilistes.
- Le mur avançait à grand pas vers le
véhicule.
- Personne n'ayant donné les ordres
nécessaires, il n'était pas difficile d'y
obéir.
- Le cadavre ne semblait pas en possession
de toutes ses facultés.
- Il est à noter que les deux véhicules sont
entrés en collision l'un avec l'autre
exactement le même jour.
- Le plaignant, visiblement en état
d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et
signa le formulaire d'une croix.
- L'homme qui était aussi sourd que son
épouse ne semblait pas s'entendre très bien
avec elle. Nous avons donc pu constater qu'il
n'y avait rien à constater.
- Ses explications étaient si embrouillées
que nous avons dû le relâcher, faute d'avoir
la preuve que nous pouvions comprendre ses
explications.
- C'est la pluie qui empêcha le policier de
s'apercevoir qu'il neigeait.
- L'homme nous raconta toute la vérité qui
n'était en fait qu'un tissu de mensonges.
- Pendant tout l'interrogatoire, l'homme n'a
cessé de nous dévisager avec ses propres
yeux.
- Maîtrisé par nos soins, l'homme s'est
enfui à toutes jambes, malgré sa jambe
artificielle qui s'était décroché.
- La tête ne lui tenait plus que par la peau
du derrière.
- Le défunt a formellement reconnu son
agresseur.
- La mer était sa terre natale.
- Le suspect étant sans domicile fixe, les
policiers purent le cueillir quand il sortit
enfin de chez lui
- L'homme avait suffisamment gardé la tête
froide pour ranger soigneusement les morceaux
du corps au congélateur
- Mort sur le coup, l'homme avait déjà été
victime d'un accident identique l'an dernier.
- Comme il devait être pris en charge au
plus vite par un asile d'aliénés, il a été
conduit au poste de police.
Le blog du jour - Page 3
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PERLES DE POLICIERS
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Encore passé tout droit
Je voulais me rendre au salon du livre.
Je regarde sur leur site pour savoir les heures d'ouverture.
Just to bad. J'ai passé tout droit.
Bof ! J'irais comme d'habitude chez Renaud- Bray faire une virée.
Il me reste dans mes achats estival à lire un livre de François Barcelo
Chroniques de Saint-Placide-Ramsay
Durant mon déménagement j'ai trouvé un livre neuf
qui date de 2001 mdr Baiser Voyou de Raymond Plante
Purée ! Ce n'est pas fort mon affaire.
Je suis du genre à passer tout droit au salon du livre mais jamais devant une librairie
Innée -
Je n'ai pas le profil pour les chambres de clavardage en privé
soldier514 : salut je cherche une femme avec qui passer du bon temps.
sansnom : Non merci
sansnom : Je suis de la catégorie frustrée :O)
sansnom : bonne soirée
soldier514 :hahaha...bonne soirée..
sansnom : Heureuse de t'avoir fait sourire
soldier514 : lol.. -
Iza
Tel qu’entendu de la bouche de mon amie Iza
Ta vomissure sur ton talent artistique,
J’chus pu capable ! !
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Pour ne pas finir comme mon père avec le syndrome de Korsakoff (un artiste frustré)
J'ai tout relu
au phare,
à l'arrière boutique,
dans les anti-chambres
dans mes cahiers de notes
et dans mon ordinateur.
Pour me formuler et trouver ma propre réponse
Pour cesser de me traiter d’illettrée
Pour éviter une autre époque de beuverie dans ma vie
Pour ne plus avoir besoin de vos regards qui n’ont pas plus
et ni moins de valeur que le mien en bout de ligne.
Pour obtenir une réelle liberté d’action et de création
Et comme je l’ai déjà écrit...
À mi-chemin sur la montagne
Je suis prosternée en son flan
Le jaune des pissenlits me raccroche à la beauté du monde
Je me sens si petite devant tout le travail à accomplir
Simplement réussir à être digne de cette vie qui m'est offerte
C'est déjà une tâche énorme…
Extrait de : Dépassionner pour croître. 2001
Innée -
La mort de Pavarotti
Comme tout les matins banals je me réveille avec la radio.
J'apprends la mort du chanteur à 70 ans.
Machinalement je fais le calcul...
Et moi si je meurs à 70 ans combien d'année me reste t-il ?
25 ans
Pis là
La même maudite toune de Desjardins me revient encore
en tête avec sa finale
C'est rentré comme un clou,
Un couteau dans' patate.
La suture a t'nu l' coup:
Well, let's drink to that!
Le jour s'est l'vé sur Rouyn
'Ec des gros rayons d'or.
J'ai jasé 'ec mon instinct...
Et j'ai couché dans mon char.
Quoi que depuis quelques jours c'est une autre chanson
du même album que je fredonne...
C'pas pour mon argent
Ni pour ma beauté
Ni pour mon talent ...
Tu voulais-tu m'tuer
Y est midi tapant
Et la femme de ménage
A cogne en hurlant
" J'veux changer d'personnage "
T'es tell'ment tell'ment tell'ment beau
J'vas bénir la rue
J'vas brûler l'hôtel
Coudon ...
Tu m'aimes-tu
Tu m'aimes-tu
J'ai pu vraiment le temps d'avoir la peur d'avoir peur
J'ouvre la porte aux moments heureux.
Je me suis tapée une peine d'amour d'un an
pour une relation de 5 ans dans laquelle
j'ai vécu un vrai beau 3 ans de bonheur
Fait queeeeeeeeeeeeee...
La vie attend !
J'arrive avant de mourir.
Bourdages dans un matin aux couleurs tranchantes de vie -
Les 50 ans d'On the Road
Kerouac voulait écrire en français à lire dans Le Devoir...
Quand nous prenons le temps de le lire à nouveau,
c'est la poursuite de son voyage à travers nous.
Innée
"Rêvant certains soirs de prendre un verre avec Kirouac"
Un ajout sur l'heure du dîner Séguin rencontre Kirouac -
Parlons chiffres
Je ne comprends rien
L'an passé à pareille heure
C'est à dire pour la saison estivale qui englobe juin, juillet et août
Il y a eu 649 visites et j'étais émue
Cette été, il a fait beau pourtant ?
Il a eu 3 134 visites et je suis toute ébaubie
Merci !
À l'été 2006 vous avez ouvert 1 779 pages à l'arrière boutique
et cette fois-ci vous l'avez éventré en ouvrant 15 280 pages.
Je peux enfin oser penser que certaines personnes viennent ici vraiment pour lire Innée
Merci encore !
Nancy Bourdages -
La classe des rouilles
Des amas de couleurs intérieures
Des particules de vie détachables
Des images repassées
Des mots dénudés de ma peine
Cet automne sera le printemps de ma vie -
C'est beau un homme.
Maudite belle brochette !
Innée
S. Connery
G. Depardieu
J. Depp
M. Davis
K. Parent
T. Tremblay
Z. Richard
C.Couture -
Ariettes oubliées
J'ai traîné dans ma bourse durant plusieurs années un recueil de poésie bien connu de Verlaine : Romances sans paroles. Tranquillement au fil des ans il s'est retrouvé sans couverture avec toutes sortes de tâches soit de maquillage ou d'encre de crayon ayant coulé dans ma sac etc… Je revenais et je dis bien je revenais sans cesse sur le poème :
Il pleure dans mon coeur
Il pleut doucement sur la ville
(Arthur Rimbaud)
Il pleure dans mon cœur
Comme il pleut sur la ville;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon cœur?
O bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits!
Pour un cœur qui s'ennuie
O le chant de la pluie!
Il pleure sans raison
Dans ce cœur qui s’écœure
Quoi! nulle trahison?...
Ce deuil est sans raison.
C'est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon cœur a tant de peine!
Et la finale me renverse encore
L'âme du poète respire encore en ses pages
Je vais l’apprendre à nouveau par cœur.
Je vous l'offre
Innée -
Le désir
J'ai adoré le billet de Dany Laferrière ce matin.
Nancy