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  • Braise

    De la vraie bonne braise
    Des essences de grandes qualités
    Un simple coup de vent
    Une fraction de seconde
    Pour attiser un feu de joie


    Nancy Bourdages
    Poésie incertaine

  • L'homme fictif

    Il a tellement peur de devenir un vieux condescendant inutile, qu’il glisse vers la noirceur suicidaire des êtres perdus. Il n’est heureux qu’avec ceux qui en arrachent avec les culs propres qui puent plein la gueule de fausse bonté . Le contacte avec des insouciants lui provoquent une tension dans le dos. Une barre de métal qui lui fait mal jusqu’à la moelle. Les faux-nez souriants, ça ne cache même pas quelque chose tellement ils sont d'une navrante transparence à ses yeux. Une gang d’Impies sans valeur et surtout sans saveur pour sa plume

    Le talent lui sort par les oreilles
    Fuite névralgique au niveau du cœur
    Rien jusqu’à ce jour n’a réussi à colmater la brèche
    Il compense avec l’houblon et l’orge
    Le sérieux coule dans ses veines en permanence.
    Occasionnellement il fait le ménage dans un ramassis de colères
    Et sous une fausse une plume tremblante, temporairement, il se libère

    La vérité pour lui rime avec :
    Joue - moé pas une game osti ! J’en ai assé vue d’même dans ma vie !


    Innée
    Homme fictif

  • I drink to that.

    Après avoir fait l'amour ses 'je t'aime' sonnent comme un rot provoqué par une bière bu trop vite.


    Innée
    Homme Fictif

  • Pensées noires d'une Néo-Poupoune

    J'pus des pieds.
    J'ai envie de pleurer.
    J'chus vraiment menstruée!


    Nancy


    P.S. : C'est ça qui est ça !
    C't'une fois une fille...

  • Dufour à rejouer dedans un petit brin

    Madame Blues



    Extrait du dernier album de Manon Brunet
    Réalisation André Dufour et avec la participation spéciale de p'tit bras Hé Hé

  • Sans titre

    Tête vacillante étendue au sol
    Coulis de larmes mourantes dans un sable mouvant de vie
    Le coeur carbure à l’essence
    Mains libres et ouvertes
    Les mots s’échappent de la censure
    Enlever la peur de ce qui est

    Nancy Bourdages
    Monastère urbain

  • À chacun son combat

    Durant les fêtes j’ai confié à deux de mes sœurs qu’il y a avait qu’une chose que je pourrais regretter à ma mort c’est d’être enterrée avec mon gros cul. C’est mon humour acerbe celui qui fait rire jaune. Ce même week-end j’embarque sur la balance qui traînait dans la salle de bain de ma sœur. Le choc a été brutal. J’ai lu entres mes deux pieds 250,2 livres. La déprime était complète.

    Je savais qu’à mon retour à Montréal je devrais faire quelque chose. Même si j’avais pris avec mes sœurs le paris de perdre 20 livres tout comme elles en un an et comme récompense nous offrir un voyage à Cuba pour l’an prochain.

    Le défi est de taille et la route sera longue. Pour m’aider je me suis inscrite chez Weight watchers le 7 janvier dernier sur la pesée 247,5 livres. Les résultats sont là au 7 février j’ai déjà 12,6 livres d’éliminées il m’en reste que 75 à faire fondre pour avoir un poids santé. Ce que j’apprécie le plus dans cette aventure c’est que j’ai quand même durant ce mois mangé au restaurant et chez des amis(es), bu du vin et de la bière…Le secret ? Développer l’art d’être rassasié et comblé. Je ne sais pas si je vais réussir. Mais je me donne au moins la chance en posant des gestes significatifs dans mon quotidien.

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    Je ne rêve pas de ce corps qui ne sera jamais le mien , celui que l’ont me vend dans les médias. Je rêve de mon corps, le mien, l’unique, celui qui ce tiendra debout bien droit comme il l’a toujours fait, même quand je l’ai malmené par mes excès. Par cet effort lui dire que je l’aime d’avoir tenu le coup jusqu’à ce jour, malgré la haine que je lui ai porté quand il était beau, jeune et fort.

    Dans toutes les sphères de ma vie se qui me nourrit me transforme.


    Nancy Bourdages

  • Hier soir je fus à la hauteur de mes promesses

    Hier soir chez-moi il y a eu un souper d' filles
    Cela fait des mois que je leur chante que mes sous-marins sont exceptionnels.
    Des sous-marin de gars car il sont à la viande (avec ma sauce secrète) et avec de la bière c’est tout simplement à se tirer dans les murs .tellement que c’est bon.
    Mes sous-marin méga cochons portent un nom : Les Nancie’s.

    Une excellente soirée à boire de la Griffon et de la Tremblay
    Les Néo-Poupounes complètement mystifiées
    Mon ego et moi gratifiés

    Nancy

    P.S : La vie sans amis(es) c’est la mort. Purée que je vous aime !