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Purée! Encore le printemps !

Mon bonheur de renouer avec l'hiver fut de courte durée.
Suis-je normale ?
Ce doux temps me fout le cafard.
Va falloir formater la température.
Réinstaller l'Hiver
Le programme débarque tout le temps.


Innée

Commentaires

  • Hey! Canuck Latuk...et que je l'aime cette photo...

    Nu-Anue

  • C'est vrai que cet hiver est assez déroutant ! Je ne me plaindrais pas d'avoir des trottoirs toujours secs, mais je sais que bien des amateurs de neige sont déçu. Bonne année ! J'imagine que la neige viendra bien un jour ;o)

  • Moi aussi ce doux hiver me déroute, mes skis attendent bien sagement dans le garde-robe de cedre que la neige se mette enfin à neiger ou on pourra enfin aller s'éclater sur les pentes, bye bisous marraine

  • C'est sûr que ce beau temps desinstalle, mais pas besoin d'aller au chalet en raquettes...je garde mes espadrilles...ca fait drôle de voir encore les décorations des fêtes sans la neige, ça l'air(simple)l'air fou, l'air faux...

    au-revoir
    Perseïde

  • Ça n'a tout simplement pas d'allure. Pis si je comprends bien, unique Perseïde - soit dit en passant ton surnom te va à merveille - il n'y a pas plus de neige dans bas du fleuve.
    Gros câlin, je t'aime.

    Nancy

  • MOI AUSSI JE T'AIME, DEPUIS TOUJOURS
    Non ! Pas plus de neige que chez-vous à Montréal, le fleuve n'a pas encore sa mordée, sa saisie par le froid. Tu sais chère INNÉE sous la neige dans la noirceure se prépare la vie,la resurrection dans le secret des tenèbres dans la determination, dans le cycle etabli la vie se perpetue... quand sera-t-il sans cette manne blanche
    POINT D'INTEROGATION !!?

    P.S Les phoques sont eux aussi en déroutes sur le fleuve pas de banquises, Monte en haut du Phare et tu verras ! Au re-voir ( Je serai peut-être à Montréal mercredi ou jeudi. Je t'aviserai )

    PERSEÏDE

  • Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii tu m'appelleras-moi !

    Innée sautant de joie.

  • salut ! INNEE GARDIENNE DU PHARE.


    Vers midi trente j'ai descendu au chalet. Je n'avais pas faim même si je n'avais pas encore déjeuner. J'ai marcher sur le rivage du fleuve, un bon moment. J 'avais surtout soif et faim de me carburer à cette air salin et humide et l'iode des algues, faire le plein. Notre corps en est constitué à 90%, il en ressent du bienfait (sur le champs)immédiatement. L'impression d'être dans une immence bulle, c'est collé à moi, 200 cent pieds de diamètre et plafond bas. Pas un seul goeland...ni corneille. Pas de bruit de glaces qui s'entrechoquent...silence...humidité bienfaisante pour les voix respiratoires ( je me soigne pour une grippe ) mes poumons chantent en cacophonie. La lumière des phares ne traversent plus la densité de la brume.
    J'ai contaté la similitude....Les mêmes phénomènes se produisent après un choc émotif .On n'a plus rien a (ou) s'accrocher, rien d'habituel :le champs de vision est limite, plan de vie écourte. MÊME le PHARE GUIDE nous ne le percevons plus.On entre dans sa bulle LIMITE .Le regard n'atteind plus l' horizon. Les buts à atteindre sont confinés au quotidien ....sans plus ...On ne voit que l'ombre des arbres (de nos amis (es) dans cette brume laiteuse. Solitude et déprime s'installent. C'est la que la gardienne du phare entre en scène. VIGILANCE ....C'est plus facile de se laisser couler que de rebondir (on est pas tous des rescapés ). TOI INNEE tu es une pro du sauvetage de l'essence-ciel

    au-revoir PERSEIDE

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