Il y a des moments où je sens l’importance d’écrire et ces moments finissent par mourir par inaction de ma volonté de trouver un temps dans mon quotidien. Pourtant je sais très bien par expérience que cet exercice me fut salutaire plus d’une fois au cours de mon existence.

À l’école le français a toujours été ma bête noire. Cela ne m’a jamais empêché d’écrire et de lire. Les livres tout comme l’écriture furent une bouée de sauvetage j’irais jusqu’à dire que cela a sauvé, plus d’une fois, ma santé mentale. Je ne lis pas beaucoup de romans. J’ai une nette préférence pour les livres de cheminements, de spiritualité et de psychologie et par-dessus tout je dévore les recueils de poésie. J’adore également trouver des ouvrages sur toutes les passions qui m’habite- la peinture, la cuisine, le jardinage, la sexualité, le théâtre, les hommes. – Dieu sait que j’en ai passé des nuits à lire pour essayer de comprendre ma vie et la vie.

Des auteurs comme Guy Corneau, Annik de Souzenelle, Placide Gaboury, Peter Brook, Arnaud Desjardins, Françoise Dolto, Maurice Cadet, Verleine, Justein Gaarder, Martin Gray, Sarah Bernhardt, Lucien Auger. Marie de Hennezel, Tony Tremblay, Maria Reiner Rilke et j’en passe par oubli, ont fracassé mes croyances, allumé ma verve, transformé ma vision, provoqué des questionnements, confronté mes idées et ma pseudo ouverture d’esprit.


Des livres et encore des livres pour décrypter le roman le plus captivant que je connaisse : La vie !


Nancy Bourdages