Le tonnerre
Les chemins de travers
La pluie
Le trafic
Les ronrons d'Éliot
Le portable

Rien ne peut altérer la paix au coeur du monastère urbain.

Nancy


Les chemins de travers

Risque accru d’un éclatement spectaculaire de la digue quand la résistance ne peut plus contenir les pulsions.

Nancy

Matin de printemps au parfum d'automne l'espoir comme un fruit mûr.

Innée en flash vélo

Que l’énergie du cœur imprègne chacune de mes cellules

Nancy en plein d’dans

Bruit de clavier
Bruit du mental
Bruit de construction
Conscience parfumée d’inconscience
Immuabilité dans la tourmente
La paix s’installe
En ascèse sur une chaise de travail.


Nancy de plus en plus Obst’ Innée
Obstinée dans le sens de la percévérance

En vélo
À la lumière rouge
Ses yeux comme un masque de loup
Telle une feuille d’argent
Déposé à ma vue subtile
Brume polluée de la ville
Je roule au quotidien
Profondément
J’aime


Nancy Bourdages dans l'instant

Innée au printemps 2008

3 avril 5 h 15 du matin.

Non ! Non! Non ! c'est plutôt ça |

L'instinct projette.
L'irisation s'amplifie
Réverbération de la création sur la pensée.


17 h 00 25 mars 2008

L'instinct projette.
L'irisation s'amplifie
Réverbération de la pensée sur la création.

Nancy

P.S : BON !!! Là c'est o.k du moins pour moi. C'est ça qui est ça !

Nous sommes le 25 mars 2008, je viens de me lever et mon cerveau dès mon réveil m'indique que ça ne fonctionne pas ma réflexion abstraite pour tel et tel raison. Là, je pars travailler mais ce soir je vous reviens sur le dossier.

L'irisation se tari.
L'instinct rejette.
Réverbération de la pensée sur la création.

Nancy Bourdages
Monastère Urbain 24 mars 2008

À chaque lâcher prise
L’intensité augmente et monte d’un cran
Une seule alternative
La capitulation

Un parcours accidenté donne du relief

Parfois la peur de l’aveuglement est la source la plus dommageable sur nos choix.


Nancy Bourdages